Pologne

Données historiques

 

Map of PolandRépublique de Pologne

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DO KRÓLA POLSKIEGO

ZYGMUNTA II AUGUSTA

Przynaglij konie! Już się zbliża córka

Króla rzymskiego, twoja narzeczona,

Auguście. Jedziesz ku niej. Talk się wita

Jedyną pannę godną twego łoża —

Jedyną, mówię: bo z takiego domu,

Z jakiego tobie przystoi małżonka,

I urodziwą: niewiele królowych

Znajdziesz tak pięknych, a piękniejszej — żadnej.

Nie z wieści mówię. Jam to, jam to widział

W Wiedniu, gdym — biedak — był gościem bogacza.

Szła do świątyni Stefana, dostojna,

Krocząc przed matką, jak obyczaj każe,

Oczu światłością dorównując gwiazdom,

A lica mając dziewiczo różane.

Taka, do świątyń ojca krocząc, była

Póki w dziewictwie trwała, córka Ledy.

Po cóż ją miałbym opisywać? Przecież

Rychło ją ujrzysz własnymi oczyma.

Panno z piękności szczęsna i z małżonka
Równego rodem, równego pięknością,
Z którym się mierzyć nie mógłby Adonis,
Nireus ni syn opłakany Peleusa,

Klemens Janicki Janicjusz Ianicii mais aussi JANIK

ANDRZEJ KROMEK DO KLEMENSA JANlCJUSZA

Z łowcy w rybaka-ś się zmienił. Na zdrowie!
Lecz powiedz, co ci bardziej jest do smaku:
Czy ryby z rzeki, czy dziczyzna z pola?
Czy lepiej trawa żywi cię, czy woda?
A może jedno i drugie masz za nic;
Ani się wodą nie Ciesząc, ni trawą,
Ale większego czegoś pragnąc, szukasz
Tego samego i na pól równinie,
I w złotonośnej rzece? Czy złowiłeś?

Niech ci poszczęści delijska bogini!
Ach, nie! Najada z rzeki niech ci sprzyja
Świetlista, abyś znalazł, czego pragniesz!

http://www.pbi.edu.pl/katalog/authors_book.php?a=Janicki%20Zygmunt

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mid-range map of Stryszawa

Large range map of Stryszawa

 

 

 

 

1 Les origines protoslaves

Les premières traces de la présence humaine, dans le bassin de la Vistule et de l'Oder, remonteraient à environ 100 000 ans avant notre ère. Les chasseurs néandertaliens avaient pénétré les territoires sud de la Pologne actuelle. Les premiers indices d'habitat sédentaire de l'homme en Pologne dateraient de l'époque mésolithique (8000-5500 avant notre ère). À la suite des invasions des tribus asiatiques, les habitants du territoire de la Pologne actuelle commencèrent à s'organiser en communautés plus nombreuses et à construire des forts défensifs. À partir du VIe siècle avant notre ère, la Pologne devint à l'est le terrain des incursions scythes et sarmates, alors qu'à l'ouest ce fut les invasions celtes et germaniques. Les envahisseurs s'installèrent sur les territoires conquis, mais généralement ils s'assimilèrent aux autochtones. 

Les peuples slaves arrivèrent sur ces terres au VIe siècle de notre ère et, en quelques siècles, ils réussirent à s'imposer. Ils purent repousser de façon efficace les invasions des peuples asiatiques nomades et celles de la Grande-Moravie voisine. Plusieurs des tribus slaves à l’origine de la nation polonaise, dont les Polanes, les Vislanes, les Poméraniens et les Mazoviens, se seraient unies, vers 840 avant notre ère, sous la gouverne d’un roi connu sous le nom de Piast. La pratique orale de la langue polonaise s'est constituée bien avant le Xe siècle, mais le polonais évolua et se stabilisa par étapes. Cependant, la Pologne ne figure dans l’histoire de l’Europe qu’à partir du règne de Mieszko (960-992). 

2 La construction de la Pologne et son apogée

Mieszko Ier, considéré comme le fondateur de la dynastie Piast, convertit les Polonais au christianisme afin de combattre les incursions germaniques, ce qui détermina l'adoption de l'alphabet latin. Mieszko Ier hérita de ses prédécesseurs de vastes territoires unifiés qui englobaient la Grande-Pologne, la Cujavie, la Mazovie, mais conquit aussi la Silésie, la Petite-Pologne, soumit la Poméranie et plaça la Pologne sous la protection du pape afin d'écarter la suzeraineté allemande.

2.1 Le rôle de l'Église catholique

C’est au cours du règne de son fils, Boleslas Ier le Vaillant (992-1025), que l’Église chrétienne s’implanta fermement en Pologne. Ce remarquable personnage fut également le vainqueur des guerres menées contre Henri II, empereur du Saint-Empire romain germanique, et agrandit considérablement le territoire polonais (Poméranie, Moravie, Silésie et Lusace). Il fut sacré roi par le pape en 1025 et devint ainsi le premier roi de Pologne. Il s'empara de la Lusace et de la Bohême, de la Moravie et d'une partie de la Slovaquie et envahit l'est de la Russie. À sa mort, la Pologne s’étendait au-delà des Carpates, de l’Oder et du Dniestr. Toutefois, la majorité de ces conquêtes furent perdues sous le règne de son fils Miesko II (1025-1034) qui reconnut la suzeraineté allemande.
Au cours des trois siècles suivants, la Pologne fut confrontée à la fois à des difficultés intérieures et extérieures (invasions étrangères). Sous Boleslas II le Hardi (1058-1079), la Pologne retrouva sa puissance passée en affirmant son indépendance, mais, ayant fait assassiner l’archevêque de Cracovie qui avait pris la tête d’une révolte, Boleslas II dut s’exiler en raison d’un interdit papal. Après des années de chaos, Boleslas III (1102-1138) rétablit l’ordre et reconquit la Poméranie, vainquit les armées de Prusse et défendit la Silésie contre Henri V, empereur du Saint-Empire romain germanique. À sa mort, la Pologne fut divisée entre ses quatre fils, et le royaume se fragmenta en plusieurs duchés indépendants en conflit les uns contre les autres.

2.2 Les envahisseurs

En 1240 et 1241, les Mongols envahirent la Pologne, qu’ils dévastèrent. Entre-temps, les possessions baltes voisines appartenant aux Prussiens furent conquises par les chevaliers Teutoniques, et des colons allemands, encouragés par les princes polonais, commencèrent à s’installer dans le pays. Au cours de cette période de colonisation, de nombreux juifs, fuyant les persécutions dont ils étaient l’objet en Europe occidentale, trouvèrent refuge sur le territoire polonais.
En 1320, Ladislas Ier  fut couronné roi de Pologne. De 1305 à 1333, il infligea de sévères défaites aux chevaliers Teutoniques et le royaume fut réunifié. Au cours du règne de son fils Casimir III, dit Casimir le Grand (1333-1370), la puissance et la prospérité de la Pologne s’accrurent considérablement. Casimir, l’un des rois les plus éclairés de l’histoire polonaise, fut également le dernier roi de la dynastie de Piast. Il fut à l’origine d’importantes réformes administratives, judiciaires et législatives, fonda l’université Jagellon en 1364, accrut l’aide aux juifs réfugiés d’Europe occidentale et conquit la Galicie.

C’est à cette époque que Jan Wanc a construit la première orgue fabriquée en Pologne,

 plus exactement à ZYWIEC en 1381 ;

Il a pu être un serf de l’Eglise, mais c’était un séculier.Il était probablement un wende comme son nom l’indique.

 Początkowo organy sprowadzano z zagranicy. Niebawem uruchomiono produkcję tego instrumentu również i w kraju. Pierwszymi organistami i budowniczymi organów byli zakonnicy: benedyktyni, franciszkanie i cystersi. Pierwszym świeckim zaś budowniczym organów w Polsce był Jan Wanc, który w roku 1381 zbudował organy w Żywcu.

LES PREMIERS JOUEURS D ORGUES ET CONSTRUCTEURS ETAIENT DES MOINES, DES BENEDICTINS, DES FRANCISCAINS ET DES CISTERCIENS;

Le premier Séculier qui est devenu constructeur d’orgues en Pologne a été  Jan Wanc .

Il  a construit les orgues de Żywiec en 1381.

(sous le règne de LUDWIK 1er Louis d’Anjou  , roi de Hongrie 1342-1382  et roi de Pologne depuis 1370)

époux de Elzbieta de Bosnie.

Qui ont été succédés par Jadwiga Edwige d’Anjou, reine de Pologne de 1384-1399 qui a épousé Wladislaw JAGIELLO Grand Duc de Lithuanie en 1386 et qui est devenu roi de Pologne , formant ainsi le double Etat de Pologne-Lithuanie)

 Żywiec se trouve relativement près de Stryszawa, et de Oswiecim.

Lieux de naissance de mes parents JANIK ET WANCLIK

 

Wanc en polonais se lit vantz, on pourrait donc pourrait inclure le noms allemand wantz, qui est différent de wantze :pou

Faire des orgues requiert du talent ;ça n’est pas à la portée de tout un chacun .Cela est vrai aujourd’hui et cela l’était encore plus avant la Renaissance.Dans ma recherche de trace de mon nom dans le passé que je connais aujourd’hui , VAN ,Lac de VAN , VANK église en arménien , le nom VANTH attire mon attention, car c’est un nom Etrusque.

Or les Etrusques sont venus d’Anatolie et leur langue est lydienne comme l’Ukrainien ;il y a de quoi creuser dans cette direction.

 

  Les orgues ont été inventées au 4ème siècle avant JC par un mathématicien grec et étaient utilisées dans les cirques romains avant que l’église ne les adoptent .    Pépin le Bref , père de Charlemagne en a  reçue une en cadeau.de l’Empereur Byzantin.et en a fait faire une copie qu’il a fait installer à Aix la Chapelle..

 

2.3 La seconde dynastie

La deuxième dynastie de rois polonais, les Jagellons, fut fondée par Jagellon, un grand-duc de Lituanie. En 1386, il épousa Hedwige, reine de Pologne et petite-nièce de Casimir III. Il accéda ainsi au trône de Pologne sous le nom de Ladislas II Jagellon (1386-1434). Converti au catholicisme, il christianisa les Lituaniens. En 1410, à Grunwald-Tannenberg, il remporta à la tête des armées polonaise et lituanienne une victoire décisive sur les chevaliers Teutoniques, ce qui fit de la Pologne l'une des nations les plus puissantes d’Europe. Par la suite, jusqu’en 1569, les deux États seront le plus souvent dirigés par le même monarque.

Sous le règne des Jagellons, la Pologne atteignit le sommet de sa puissance, de sa prospérité et de son rayonnement culturel. Casimir IV (1445-1492) mena une guerre prolongée et victorieuse (1454-1466), la guerre de Treize Ans et contre les chevaliers Teutoniques. En 1466, la paix de Torun, qui met un terme au conflit, assura à la couronne la possession de la Prusse occidentale, de la Poméranie ainsi que d’autres territoires. Les derniers Jagellons, en particulier Sigismond Ier (1506-1548), accumulèrent d'autres victoires militaires et diplomatiques, malgré quelques échecs. En 1569, Sigismond II Auguste (1548-1572) réunit la Pologne et la Lituanie (union de Lublin).

2.4 Le nationalisme polonais

Certains attribuent la première grammaire polonaise, écrite en latin et parue en 1568, à Piotr Statorius-Stojenski, un Polonais d'origine française et élève de Jean Calvin. Mais c'est vers 1440, un siècle plus tôt, que l'on date la plus ancienne grammaire polonaise, en latin elle aussi, écrite par Jakub Parkoszowic. 

La Renaissance vit l'émergence du nationalisme polonais dans la langue. Jusqu'alors, la plupart des Polonais portaient des noms russes du calendrier orthodoxe (Stepan, Iwan, Grigorij, Jakov, Matvej, etc,). À la fin du XVIe siècle, commença une polonisation intense des prénoms non polonais qui finirent par disparaître. Paradoxalement, le vocabulaire s'enrichit de nombreux emprunts à des langues étrangères telles que le l'italien, le français et le tchèque. Beaucoup de Polonais de l'époque développèrent l'habitude (appelée makaronizm) d'insérer tant à l'oral qu'à l'écrit des expressions et des tournures d'origine étrangère, principalement latine. 

3 Le déclin et le dépeçage de la Pologne

Avec la mort de Sigismond II Auguste, le dernier des Jagellons, en 1572, un nouveau régime s'installa: le roi de Pologne était élu par la Diète. Celle-ci finit par imposer des restrictions au pouvoir monarchique. Puis le pays s'engagea dans des luttes pour le contrôle de la mer Baltique et le trône de Suède. Les guerres désastreuses contre la Suède, la Russie, les Cosaques d’Ukraine, le Brandebourg et les Ottomans aboutirent à la perte de territoires importants et à la ruine d’une grande partie de la Pologne. En 1655, la Suède vainquit la Pologne lors de la première guerre du Nord (1655-1660). Ces nouvelles guerres ravagèrent le pays et aboutirent à la perte de nombreux territoires : duché de Prusse (1657), Livonie intérieure cédée à la Suède (traité d’Oliva, 1660) et Ukraine orientale abandonnée à la Russie (traité d’Androussovo de 1667). La Pologne sortit ruinée de cette crise.

3.1 Le déclin

En 1683, les armées polonaises et allemandes placées sous l’autorité de Jean III Sobieski défirent les Ottomans aux portes de Vienne, mettant ainsi un terme à une sérieuse menace contre la chrétienté en Europe centrale, mais cette victoire ne suffit pas à enrayer le déclin de la Pologne. Auguste II prit le contrôle du pays (1697-1733) et, durant son règne, l’empire russe engagea des attaques systématiques contre la Pologne, réduisant ainsi progressivement ses voisins à l’impuissance. La corruption politique étendue qui régnait dans la noblesse polonaise accéléra le glissement vers le déclin national. En 1764, les troupes russes entrèrent en Pologne et imposèrent le couronnement de Stanilas II Auguste (1764-1795), un favori de Catherine II, impératrice de Russie.

3.2 Le dépeçage

L’expansionnisme russe provoqua une profonde inquiétude au sein des puissances européennes. Les Ottomans déclarèrent alors la guerre à la Russie. La Prusse et l’Autriche, effrayées par la perspective d’un conflit général en Europe et désireuses de s’emparer d’une partie du territoire polonais, proposèrent au gouvernement russe un «plan de partage» de la Pologne, c'est-à-dire son dépeçage. Au cours du premier partage, en 1772, les trois puissances s'approprièrent environ un tiers de son territoire. En 1793, le deuxième partage - auquel seules la Prusse et la Russie participèrent - réduisit encore le territoire polonais. Et le troisième partage, en 1795, mit fin à l'existence de l'État polonais.

En 1794, les Polonais entamèrent une guerre révolutionnaire pour la reconquête de leurs territoires perdus. Après avoir regagné une portion des territoires perdus, les forces russes entrèrent dans Praga, un faubourg de Varsovie, et massacrèrent une grande partie de la population. les puissances victorieuses signèrent, entre 1795 et 1797, plusieurs traités réglant le troisième partage de la Pologne. Aux termes de ces traités, l’empire russe se vit accorder environ la moitié de ce qui restait du territoire polonais, et la Prusse et l’Autriche, chacune environ un quart. L’État polonais disparut alors de la carte de l’Europe.

4 La Pologne sous la domination étrangère 

Parce qu'il avait promis de faire renaître la Pologne, Napoléon Ier obtint une aide substantielle des Polonais; des milliers d’entre eux s’engagèrent à ses côtés. En 1807, aux termes du traité de Tilsit, il créa le grand-duché de Varsovie, qui fut constitué par les territoires acquis par la Prusse en 1793 et 1795. Deux ans plus tard, Napoléon força l’Autriche à céder la Galicie de l’Ouest au grand-duché. Mis à part l’octroi d’une constitution libérale au nouvel État, Napoléon ne fit à peu près plus rien pour les Polonais, qui soutinrent pourtant avec enthousiasme la campagne de Russie en 1812.

4.1 Les suites du Congrès de Vienne de 1815

En 1815, le congrès de Vienne, qui établit l’accord de paix général de l’Europe après la chute de Napoléon, créa le royaume de Pologne (appelé aussi «Pologne du Congrès»), qui fut constitué des trois quarts environ du territoire de l’ex-grand-duché de Varsovie et dont le roi était l’empereur de Russie. Le congrès constitua également la ville de Cracovie en république indépendante et répartit le reste du territoire polonais entre la Russie, l’Autriche et la Prusse. Mais les nationalistes polonais lancèrent un mouvement indépendantiste puissant, alors qu'éclata une insurrection armée, le 29 novembre 1830. Les Polonais expulsèrent les autorités impériales et, en janvier 1831, proclamèrent leur indépendance. Lors de la guerre qui s’ensuivit, les Polonais gardèrent les Russes à distance pendant plusieurs mois, ce qui ne peut empêcher les Russes de remporter une victoire importante à Ostrolenka en mai 1831; ils prirent Varsovie en septembre.

4.2 La russification de la Pologne

À la suite de la rébellion, la Constitution, la Diète et l’armée polonaise furent supprimées, de même que les libertés civiles. Des mesures sévères furent prises pour russifier les institutions publiques et l’administration, tandis que le pays était dépouillé de ses trésors littéraires et artistiques. D’autres insurrections nationalistes eurent lieu en Pologne en 1846, en 1848, en 1861 et surtout en 1863, mais elles demeurèrent sans lendemain. Par la suite, voulant intensifier son programme de russification, les autorités russes introduisirent le russe à l’école, restreignirent l’usage du polonais et réussirent à influencer les activités de l’Église catholique. Culturellement, politiquement et économiquement, les territoires polonais occupés par les Russes devinrent de «simples provinces» de l’Empire russe, et perdirent toute leur ancienne autonomie. Quant aux Polonais de la Pologne prussienne, ils furent soumis à une politique de germanisation, qui ne fut cependant pas aussi sévère que la politique de russification. Pour ce qui est des Polonais de la Pologne autrichienne, ils furent traités plus libéralement et conservèrent leurs propres leaders et activités politiques.  C'est à cette époque que la langue polonaise connut une période de résistance contre l'allemand et surtout le russe.

5 L’indépendance 

Lors de la Première Guerre mondiale, les Polonais enrôlés dans les forces armées de la Russie tsaristes durent combattre les Polonais enrôlés dans les armées des puissances centrales. Après la chute de l’empire russe en mars 1917, le gouvernement provisoire russe reconnut le droit des Polonais à l’autodétermination. Un gouvernement provisoire polonais fut alors formé à Paris. En septembre 1917, les Allemands, qui contrôlaient alors complètement le pays, créèrent un conseil de régence comme autorité gouvernementale suprême d’un prétendu «royaume de Pologne». Avec la défaite des puissances centrales à l’automne de 1918, les Polonais retrouvèrent rapidement un État. En novembre, la Pologne fut proclamée république indépendante, et Józef Pilsudski en devint le chef d’État à titre temporaire.

5.1 Le traité de Versailles de 1919          http://tade.wanclik.free.fr/pologne2.htm

Le traité de Versailles de en juin 1919 accorda à la Pologne une bande de territoire étroite (le «couloir de Dantzig»), qui s’étendait le long de la Vistule jusqu’à la Baltique, ainsi qu’une grande partie de la Posnanie et de la Prusse occidentale. Après un